Alors..alors ZARA est arrivée....
ZARA était une petite jument alezan de 4 ans, d'origine inconnue, qui s'ennuyait beaucoup dans un enclos désertique dans les environs de Cavaillon. Des relations communes nous avez mis en contact avec sa prpriétaire. Après avoir convenu des conditions de son séjour chez moi me voila parti avec mon vieux TUB Citroën pas encore aménagé en bétaillère pour récupérer cette petite rousse qui henissait de désespoir entre quatre fils électriques.
Nous la chargeons dans le fourgon sans difficulté et après quelques dizaines de kilomètres très calme nous débarquons devant un Pharaon ravi d'avoir une copine. Zara était et (est toujours) une jument formidable. un modéle de calme de sang froid et de gentillesse. A son arrivée elle tolérée le cavalier et ne savait pas grand chose en matière de gymnastique équestre. Elle était de bonne taille 1,55 et 1,60 et en plus de son caractère très doux avait quelques aptitudes physiques.
Nous avons évoluer mutuellement au fil des mois c'était ma première expérience d'éducation d'un cheval. Je tatonnais beaucoup, potassais ferme, et recueillais tous les conseils possibles. En extérieur elle était d'un calme remarquable. Un jour ou nous étions sur une petite route de campagne, d'une étroitesse qui ne permettait pas à deux voitures de se croiser, bordée de par et d'autre par des talus abrupts, j'entends soudain le grondement d'un moteur derrière moi. Un semi remorque transportant un buldozeur arrivé. Impossible de s'écarter, l'engin monstrueux et cliquetant arrivait à vitesse réduite mais arrivait inexorablement. J'ai juste senti les postérieurs de Zara passez sous la selle au moment ou il nous doublait une ou deux foulées un peu plus longues et la messe était dite. Profitant de ces qualités exceptionelles Zara a mis en selle un grand nombre de membres de la famille. Je montais Pharaon et nous partions dans les collines et galopions dans les champs moissonnés. Sauf un jour ou ma femme a préférée monter Pharaon. Il était ce jour la d'une grande docilité jusqu'à ce galop ou bêtement j'ai voulu passer devant. Mon camargue piqué au vif a enclenché le turbo de quoi décontenancer, et plus si gravité, une cavalière débutante.
Ah oui j'allais oublier de vous dire que sa propriétaire devait venir monter Zara de temps en temps. je ne l'ai vue que trois fois en 4 ans juste quelques minutes par ce que nous nous étions croisé au village et que je lui apprenais que sa jument était encore vivante. Elle était très heureuse de voir combien elle était devenue un très bon cheval de loisir. Ces constatations ont du faire du chemain dans sa tête car elle m'a annoncée un beau jour qu'elle voulait vendre Zara.
Je me portais évidemment acquéreur mais fus surpris de découvrir que Zara avait pris de la valeur. J'ai bien essayé de négocier expliquant que certes c'était son prix que j'était un peu l'artisant de cette valeur et faisait donc une proposition à mi chemin. Zara est partie à quelques centaines de mètres de chez moi chez un vieux monsieur cavalier que je connaissait, avec qui j'avais fait une rando au cours de laquelle il m'avait épaté trois jours durant sur son étalon pur sang arabe. Une sacrée nature ce cavalier. Zara lui a donné une très jolie pouliche quelques temps après. Terrassé par une crise cardiaque alors qu'il ferrait son cheval . Son étalon est mort quelques semaines après lui, (hasard ou désespoir) chez son fils qui avait récupéré les chevaux, . Zara vit toujours. Zara partie mon Pharaon était à nouveau seul mais il ne le resta pas très longtemps car j'avais récupéré une ponette et sa pouliche initialement destinées à amuser les enfants et qui étaient devenues très encombrantes chez des grands parents un peu dépassés.
Nous la chargeons dans le fourgon sans difficulté et après quelques dizaines de kilomètres très calme nous débarquons devant un Pharaon ravi d'avoir une copine. Zara était et (est toujours) une jument formidable. un modéle de calme de sang froid et de gentillesse. A son arrivée elle tolérée le cavalier et ne savait pas grand chose en matière de gymnastique équestre. Elle était de bonne taille 1,55 et 1,60 et en plus de son caractère très doux avait quelques aptitudes physiques.
Nous avons évoluer mutuellement au fil des mois c'était ma première expérience d'éducation d'un cheval. Je tatonnais beaucoup, potassais ferme, et recueillais tous les conseils possibles. En extérieur elle était d'un calme remarquable. Un jour ou nous étions sur une petite route de campagne, d'une étroitesse qui ne permettait pas à deux voitures de se croiser, bordée de par et d'autre par des talus abrupts, j'entends soudain le grondement d'un moteur derrière moi. Un semi remorque transportant un buldozeur arrivé. Impossible de s'écarter, l'engin monstrueux et cliquetant arrivait à vitesse réduite mais arrivait inexorablement. J'ai juste senti les postérieurs de Zara passez sous la selle au moment ou il nous doublait une ou deux foulées un peu plus longues et la messe était dite. Profitant de ces qualités exceptionelles Zara a mis en selle un grand nombre de membres de la famille. Je montais Pharaon et nous partions dans les collines et galopions dans les champs moissonnés. Sauf un jour ou ma femme a préférée monter Pharaon. Il était ce jour la d'une grande docilité jusqu'à ce galop ou bêtement j'ai voulu passer devant. Mon camargue piqué au vif a enclenché le turbo de quoi décontenancer, et plus si gravité, une cavalière débutante.
Ah oui j'allais oublier de vous dire que sa propriétaire devait venir monter Zara de temps en temps. je ne l'ai vue que trois fois en 4 ans juste quelques minutes par ce que nous nous étions croisé au village et que je lui apprenais que sa jument était encore vivante. Elle était très heureuse de voir combien elle était devenue un très bon cheval de loisir. Ces constatations ont du faire du chemain dans sa tête car elle m'a annoncée un beau jour qu'elle voulait vendre Zara.
Je me portais évidemment acquéreur mais fus surpris de découvrir que Zara avait pris de la valeur. J'ai bien essayé de négocier expliquant que certes c'était son prix que j'était un peu l'artisant de cette valeur et faisait donc une proposition à mi chemin. Zara est partie à quelques centaines de mètres de chez moi chez un vieux monsieur cavalier que je connaissait, avec qui j'avais fait une rando au cours de laquelle il m'avait épaté trois jours durant sur son étalon pur sang arabe. Une sacrée nature ce cavalier. Zara lui a donné une très jolie pouliche quelques temps après. Terrassé par une crise cardiaque alors qu'il ferrait son cheval . Son étalon est mort quelques semaines après lui, (hasard ou désespoir) chez son fils qui avait récupéré les chevaux, . Zara vit toujours. Zara partie mon Pharaon était à nouveau seul mais il ne le resta pas très longtemps car j'avais récupéré une ponette et sa pouliche initialement destinées à amuser les enfants et qui étaient devenues très encombrantes chez des grands parents un peu dépassés.